Comme j’aime le faire, et comme mon père le faisait avant l’avènement des remontées mécaniques avant-guerre, c’est le moment de ressortir les peaux, anciennement de phoque, maintenant synthétiques.
C’est la vraie liberté !
Maryse Esterle dit :
Oui, la montagne l’hiver donne toujours cette impression d’immensité et de liberté, d’espace aussi, surtout quand on peut sortir des « sentiers battus ». À l’époque, il y avait relativement peu de monde dans les stations et j’ai un souvenir ouaté de ces balades dans la montagne grâce aux skis en tous genres.
Ariane B. dit :
Souvenirs, souvenirs… Quant à moi mes premiers sports d’hiver eurent lieu à St Véran, le plus haut village de France ; hébergées chez des paysans, nous dormions à 4 filles dans une chambre avec des édredons et des peaux de mouton comme couverture ; le matin pâté au petit déjeuner et grosse tranches de pain (délicieux). Par, contre on m’avait fait partir avec les skis (en bois), lanières pour accrocher des chaussures normales, qui étaient ceux de mon frère, de 17 ans plus âgé, et évidemment plus grand. Résultat entorse à la première descente.
Je n’ai jamais vraiment goûté aux joies de ce sport…
Maryse Esterle dit :
Oui c’était un autre temps ! J’ai bien aimé le ski de piste (malgré les gamelles) quand j’étais plus jeune, ensuite j’ai appris à des jeunes les rudiments du fameux chasse-neige virage avant qu’ils se lancent sur les pistes tout seuls, et maintenant j’aime bien voir les skieurs mais je ne me mêle plus à eux, je tiens à mes abattis… Mais le spectacle de la montagne est toujours aussi renversant, à pied !
Comme j’aime le faire, et comme mon père le faisait avant l’avènement des remontées mécaniques avant-guerre, c’est le moment de ressortir les peaux, anciennement de phoque, maintenant synthétiques.
C’est la vraie liberté !
Oui, la montagne l’hiver donne toujours cette impression d’immensité et de liberté, d’espace aussi, surtout quand on peut sortir des « sentiers battus ». À l’époque, il y avait relativement peu de monde dans les stations et j’ai un souvenir ouaté de ces balades dans la montagne grâce aux skis en tous genres.
Souvenirs, souvenirs… Quant à moi mes premiers sports d’hiver eurent lieu à St Véran, le plus haut village de France ; hébergées chez des paysans, nous dormions à 4 filles dans une chambre avec des édredons et des peaux de mouton comme couverture ; le matin pâté au petit déjeuner et grosse tranches de pain (délicieux). Par, contre on m’avait fait partir avec les skis (en bois), lanières pour accrocher des chaussures normales, qui étaient ceux de mon frère, de 17 ans plus âgé, et évidemment plus grand. Résultat entorse à la première descente.
Je n’ai jamais vraiment goûté aux joies de ce sport…
Oui c’était un autre temps ! J’ai bien aimé le ski de piste (malgré les gamelles) quand j’étais plus jeune, ensuite j’ai appris à des jeunes les rudiments du fameux chasse-neige virage avant qu’ils se lancent sur les pistes tout seuls, et maintenant j’aime bien voir les skieurs mais je ne me mêle plus à eux, je tiens à mes abattis… Mais le spectacle de la montagne est toujours aussi renversant, à pied !